CALL TO ACTION

Did you know? / Le Saviez vous?  

     Changes in climate are occurring at rates that are ten times faster than any previous period in the last 65 million years, and much of it can be attributed to human activities.  Without dramatic action to reduce carbon emissions, the world is on course to see a 5C to 6C degree spike in temperatures by 2100. The planet is already 1C degrees warmer than it was on hundred years ago. It is re-shaping the state of world politics by stressing water reserves and, by extension, food production. Each degree of rise, impacts 10% of the world's hydrology, and 7% of its global calories. Drought is intensifying in many areas around the world, and aquifers are being depleted from California to the Middle East (according to NASA, 21 of the world’s 37 major aquifers are on the verge of collapse). Globally, the swelling refugee crisis triggers socio-political unrest, and the rising price index of commodities sparks food riots that threatens local and geopolitical balance.
 
     While world leaders bicker and deliberate on acceptable economic measures, special interest groups are busy scrambling the airwaves with counter information propaganda, leaving a trail of confusion and galvanized partisan politics to create the illusion of a debate. Meanwhile, the Earth’s temperature is fastidiously rising, one fraction of a degree at a time.

     Much like gravity, our climate cares little about opinions or vested interests. We find ourselves at an existential crossroad mixing problems and solutions. But the choices that we make today will have a profound impact on the costs and quality of life of our future. Solving the climate crisis requires commitments from all sectors of society: political, business and public. It is time to roll our sleeves and get to work!

     Le climat se réchauffe dix fois plus rapidement qu’il ne l’a fait depuis 65 millions d’années, un changement qui s’attribue aux activités humaines. En l’absence de robustes engagements des politiques pour réduire les émissions de carbone à l’échelle globale, les températures augmenteront de 5C à 6C degrés d’ici 2100. Le monde est déjà 1C degré plus chaud qu’il ne l’était il y a cent ans, ce qui engendre les conflits en stressant les réserves d’eau, et par extension, la production de nourriture. Avec chaque degré de hausse, la terre perd 10% de sont hydrologie, et 7% de ses calories, alors même que sa population augmente. La sècheresse s’étend alors que les aquifères s’assèchent de la Californie au Moyen Orient (d’après la NASA, sur le 37 aquifères majeurs de la planète, 21 sont proche de s’effondrer). En conséquence, les troubles sociaux s’accroissent, enflammés par la culture de refugiés et l’augmentation du prix des produits de base qui engendre des émeutes et menace la géopolitique.
 
     Alors que les politiques délibèrent leurs priorités, des groupes industriels et intérêts privés s’occupent de propager une stratégie de contre-information qui sème la confusion et enflamme les esprits en créant l’illusion d’un débat sur la question. Et pourtant, la température de la planète continue son inexorable hausse.
 
     Tel la gravité, le climat se moque des intérêts économiques. Nous faisons face à un carrefour existentiel qui mêle problème et solutions. Les décisions prisent aujourd’hui auront un impact déterminant sur l’avenir toute les espèces, et les sacrifices présent représentent une fraction du coût de l’inaction pour l’avenir. Il est clair que régler la problématique du climat demande désormais un engagement sur tous les fronts : politique, industriel et le public. Il est donc temps de se trousser les chemises et de se mettre au travail!

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